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Les JECO vues par la prépa ECT du Lycée La Martinière Duchère

26 novembre 2013

Réformes économiques : quelles priorités ?

Réformes économiques : Quelles priorités ?             

 

La France est en crise sans aucun doute. Mais quels sont les moyens possibles de sortir de cette crise ? Dans une conférence des journées de l’économie à Lyon, Patrick Artus : directeur de la recherche  et des études Natixis, François bourguignon : directeur de l’école d’économie de Paris, ancien économiste en chef de la Banque Mondiale, Jean-Claude Mailly : secrétaire générale de F.O, Yanick Moreau : Président de la commission pour l’avenir des retraites, Jean Pisani ferry : Commissaire général à la stratégie et à la prospective discutaient des priorités concernant les réformes économiques à appliquer.

Un des intervenants constatait un coût de logement en France très élevé par rapport à l’Allemagne pour en déduire qu’un français ayant le même revenu qu’un allemand aura un pouvoir d’achat inférieur à ce dernier. Et donc qu’il fallait réduire le coût du logement. Certains parlaient aussi, du manque de marge de manœuvre du gouvernement dans la politique monétaire car la Banque Centrale dicte au pays comment la gérer, du manque de jeunes dans la restauration où la demande de travail est très élevé. Certains étaient en faveur de la création de nouvelles d’entreprises afin de créer de nouveaux emplois face à l’omniprésence des taxes. Le système scolaire aussi était très critiqué du fait de sa dégradation suite aux inégalités de formation des écoles.

Beaucoup d’interrogations avaient lieu durant la conférence et notamment sur les causes de cette crise. Ils étaient d’accord sur le fait qu’à court terme les choses allaient être difficiles, car il devient urgent de relancer l’attractivité de la France au niveau des investissements. Sans qu’ils n’arrivent à se mettre d’accord sur les réformes à mettre en œuvre, ils se rejoignaient sur le fait que les réformes impliquaient à court termes des gagnants et des perdants.

Chaque  intervenant avait sa propre idée sur les priorités pour traiter les problèmes de la France. Il n’y avait pas de consensus sur les priorités mais ce qui revenait le plus étaient les réformes sur :

-          Le coût du travail en France

-          L’augmentation des gains de productivité

-          Les retraites

-          Le logement

-          La formation professionnelle (aussi bien au niveau économique que sociale)

En conclusion, on sait que la France a un besoin important d’être soumis à certaines réformes pour ne pas risquer une faillite caractérisée, et pour que cela n’arrive pas, les réformes sont obligatoires. Sur le long terme, cela permettrait à la France de créer une modification de l’appareil productif afin de relancer l’activité économique française et aussi européenne.

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26 novembre 2013

Redécouvrir Ricardo 2

Pierre Dockès, professeur de sciences économique à l’université Lumière Lyon II : modérateur de conférence.

A rappeler, que la théorie ricardienne est issue d’Adam Smith, et qu’elle a eu un rôle extrêment important dans l’économie. En effet, deux grand courants se sont affrontés, les néoclassiques avec Ricardo et Marchal d’un côté puis de l’autre Marx, avec l’économie bourgeoise et la critique de l’économie politique. 

Les apports de Ricardo, sont (brièvement), la controverse, monétaire, autrement dit la politique monétariste ; celle des valeurs ayant des conséquences longues sur l’économie du pays ; les crises économiques, crise sectorielles n’ayant pas lieu au niveau de la surproduction d’un produit étant donné que l’offre crée sa propre demande ou encore les coûts comparatif du commerce extérieur, fondateur de la division du travail.

-          André Orléan, insiste bien sur le fait que Ricardo soit un économiste politique anglais, liant les facteurs de production c’est-à-dire que le capitale salaire est utilisé pour acheter les salariés ; un processus d’accumulation du capital. Mais comment celui s’accumule-t-il ? Ricardo nous explique donc que c’est par le biais de trois facteurs capital : la terre, le travail, et le capital (machine) ; et qu’ainsi le taux de profit est l’équivalent du taux d’accumulation soit le niveau d’emploi équivalent au taux de croissance.

1-      La théorie de la valeur de Ricardo, Pourquoi les marchandises ont-elles de la valeur ? question qui est au centre de l’économie politique, car toute économie tend à une théorie de valeurs pour son pays. Ricardo tend à distinguer la valeur d’usage qu’est l’utilité du bien pour les individus et la valeur d’échange qu’est le rapport du produit avec ceux du monde, du commerce extérieur → deux axes indépendants l’un de l’autre.

Ricardo a souvent utilisé l’exemple de l’eau et de l’air : il y a une déconnexion de la valeur de l’utilité et de l’échange entre ceux-ci, pouvant être indépendant l’un de l’autre.

2-      Il explique que les marchandises doivent être comptables au niveau de leur valeur d’utilité pour rentrer dans le domaine de l’économie. Mais ainsi que valent-elles au niveau des échanges mondiaux ? il nous montre, qu’une modification d’un salaire ne modifie pas la valeur des biens, ainsi Ricardo travail en fonction de la qualité de travail essentielle pour produire ce-dernier. Il y a une différence entre les deux valeurs (utilité/échange) c’est bel et bien le temps de travail passé sur la marchandise qui en déduira son prix.

→ Il relie le travail au taux de profit réalisé par l’entreprise.

 

-          J.Boyer, la théorie monétaire de Ricardo

1-      L’influence de Ricardo,

En 1809, Ricardo n’a que 37 ans et il intervient déjà au niveau de la critique sur la politique monétaire mise en place. 

Celle d’Adam Smith se base sur les principes suivant, Ricardo envisagera la sienne différemment, c’est pour cela qu’il va se permettre de critiquer la politique monétaire.

Smith :

La monnaie est liée au crédit de la société

 

 

Besoin de l’économie → crédits → monnaie

 

 

Banking school, Institutionnaliste, Keynésianisme

 

Ricardo :

La monnaie est dissociée du crédit

Monnaie → niveaux général des prix

Currency school, Quantitativisme, Monétarisme

 

2-      Monnaie et marchés

La monnaie est dissociée des crédits, elle génère des marchandises, des biens sur un marché monétaire et un marché de changes.

3-      Le marché des changes

Basé sur la variation des prix de l’or et de l’argent, sur le mécanisme des prix, des flux d’espèces « gold specie flow mechanism ». Il met en relief, 

La baisse de la valeur de l’or

Hausse de la demande de l’or pour exporter

Hausse des prix de l’or

Baisse du taux de change

 

Système opposé diamétralement à Thorton, qui lui met en avant le mécanisme des taux de changes d’entrée et de sortie de l’or.

4-      Le « currency board »

L’or sort du pays pour assurer le crédit demandé par les banques, le crédit étant un déficit commercial ; toute émission de billet pour demande d’échange d’or créé une diminution de celui-ci en contrepartie.

-          Gilbert Faccarello, le commerce international selon Ricardo

1-      L’héritage théorique

Petits rappel de ses éléments économique principaux :

  • Explication des échanges internationaux
  • Gains tirés de ces échanges
  • Approche d’une doctrine de la balance du commerce, du travail
  • Approche française des théories de la liberté du commerce → stabilise les prix, permet l’optimum
  • Doctrine humienne, version quantitative de la monnaie
  • Variante de Smith sur la théorie des avantages absolus, du travail

 

2-      Qu’apporte-t-il à l’économie ?

Principe des avantages comparatifs (1817) en fonction du prix relatif le moins élevé. Pas de coût de marchandise réel, mais en revanche c’est le coût de marchandise produite et ce qui est donné en échange qui contribue à son prix.

→ Tous les pays se spécialisent

3-      Généralisation de sa démarche

Reprise dans sa globalité de ses éléments :

  • Chiffre du carré magique interprété comme des coefficients techniques
  • Pour la détermination des prix d’équilibre il est nécessaire d’intégrer le facteur demande

Et au niveau de l’ouverture des échanges entre les pays, il relève:

  • Un sens des échanges internationaux
  • Les gains tirés par ceux-ci

 

4-      Problème d’interprétation

On découvre que Ricardo, utilise un vocabulaire obscurs lorsqu’il met en place ses démonstrations, de plus que quelque uns de ses paragraphes sur le marché extérieurs sont douteux. En effet, il y a, à un moment donné,  des doutes  sur la paternité des principes de Ricardo, qui auraient été écrit par James Mill du fait de l’écriture utilisée et de l’incertitude des propos  non adapté à Ricardo.

5-      Nouveau regard sur Ricardo

Il raisonne sur l’économie ouverte ? Il n’y a aucune considération des pays en autarcie, de plus il effectue un raisonnement au niveau micro-économique et les prix sont exprimés en fonction du prix de l’or.

6-      Quel message à faire passer au jour d’aujourd’hui ?

Un simple rappel sur le fait qu’il base son économie au niveau du commerce international, à une politique monétaire basée sur le dynamisme des avantages comparatifs et que l’étude des prix, des spécialisations et des gains tirés proviennent des échanges internationaux.

Le profit  ne se détache pas du facteur travail, l’économie l’incorpore comme quelque chose de naturel.

26 novembre 2013

Conférence Smart City : Intervenants (Mise à jour) et Présentation du projet OPTIMOD'Lyon

image

Intervenants:

-  Jean Coldefy: responsable Optimod, au service de la mobilité urbaine du Grand Lyon, il est en charge de la centrale de mobilité et du développement de nous nouveaux services de mobilités (Ex: Auto partage, Co partage). Il a participé au développement de programme d’innovation comme le programme H2E, MobiVille. Il est conseiller de la commission européenne / DG MOVE sur les questions de mobilité urbaine, et représente le Grand Lyon dans le groupe à haut niveau de la Commission européenne sur les systèmes de transports intelligents.

 -  Yves Crozet: Professeur de Sciences économiques à l’Université de Lyon (IEP), administrateur du réseau ferré de France. Principal ouvrage en 2010 «histoire des faits économies contemporains». 

-  Karine Dognin: Elle est vice-présidente d’innovation et des nouvelles technologies pour le Grand Lyon. Elle fait aussi partie du conseil de Lyon, mais également commise pour renforcer et promouvoir les principes de base de l’industrie auprès des citoyens à n’importe quelle structure. Elle s’intéresse aujourd’hui aux technologies propres notamment pour l’instauration de bâtiments à faible consommations énergétiques au sein des métropoles.

-  Philippe Ryvlin : Neurologue, chef de service de l’unité 301 à l’Hôpital Pierre Wertheimer-CHU- Professeur de neurologie à l’Université Claude Bernard Lyon 1, et Directeur de l’équipe de Recherche sur les épilepsies du Centre de Recherche en Neurosciences de Lyon (CRNL). 

-  Christine Solnon : Professeur au département informatique de l'INSA de Lyon, et chercheur au LIRIS. Elle s'intéresse notamment à la résolution des nouveaux problèmes d'optimisation qui se posent dans le contexte des villes "intelligentes". Sur ce sujet, elle collabore avec le Grand Lyon et IBM sur le projet Optimod'Lyon.

-  Pascal Jacquesson : Directeur général de Keolis Lyon, exploitant du réseau TCL, principale filiale du Groupe Keolis. Acteur du développement de la métropole lyonnaise.

-  Gilles Vesco : Adjoint au Maire de Lyon Délégué aux Nouvelles Mobilités et Nouveaux Modes de Vie Urbains. Vice-président du Grand Lyon en charge des nouvelles mobilités urbaines.

  

Présentation du projet OPTIMOD :

Réseaux routiers, transports en commun, TER, mais aussi Vélo’v, autopartage, covoiturage… l’agglomération lyonnaise dispose d’une offre importante de transports et de services organisés en un réseau maillé favorisant les connexions. Cependant la diffusion des informations sur les conditions de déplacements est aujourd’hui dispersée. L’enjeu est de centraliser toutes les données de la mobilité au sein d’un unique entrepôt de données, dans l’objectif de produire de manière intégrée des informations aux usagers, en temps réel, sur l’ensemble des modes de transport. C’est donc un concept destiné à mobiliser la mobilité durable en ville. Ce projet n’a pas vu le jour sans moyens financiers bien évidemment, à l’origine de cet ambitieux projet il y a plus de 13 entreprises publiques et privées. Mais quelles sont les motivations à l’origine de la création de cette application mobile ? Il s’agit sans aucun doute des nombreux embouteillages dont Lyon est victime chaque jour tout comme les grandes villes en général, aucune ville n’est capable de prévoir les bouchons de manière précise. Le principe même de cette application sera la collecte d’informations en temps réel des usagers mais aussi d’autres technologies mises en place sur les routes (capteurs fibre optique) qui une fois traitées seront directement retransmises sous formes de prévisions, de conseils, d’itinéraires idéal à suivre etc. (Une première mondiale !) Ainsi l’application OPTIMOD évitera aux usagers de multiplier les applications TCL/TER/TRAM sur Smartphone et permettra une centralisation globale de toutes les informations qui pourront être distribué de manière collective. Toute cette technologie révolutionnaire mise en place essaie de changer les comportements et les mentalités, elle souhaite réellement que les usagers quotidiens, à savoir de simples habitants de grandes villes, prennent conscience de l’ampleur qu’il représente, il souhaite tout simplement qu’ils soient plus impliqués dans ce genre de projet, une ville intelligente, c’est avant tout une ville dans laquelle ses habitants sont acteurs et non consommateurs. Pour en revenir à l’application en elle-même elle permettra quasiment à la seconde prêt de prévoir si un bouchon est en train de se former ou encore le meilleur itinéraire pour un véhicule de livraison, elle sera mise en place partiellement durant l’année 2014 et sera pleinement opérationnelle d’ici 2015.

24 novembre 2013

Rapport de la conférence sur la transition énergétique

                     Tous les intervenants sont d'accord pour dire que pour dire que la transition énergétique énergétique doit se faire en réduisant notre consomation. Pour cela, il faut, réduire la part des énergies fossiles. L'objectif de 2050 étant de diviser par quatre les consommations d’énergie.

          Pour cela on a besoin de:

  • Norme et règlement
  • D’aide (Le transport des personnes domicile > travail représente 50% des émisions de CO2)
  • De financement

         2 grands secteurs privilégiés : 

  • Le logement
  • Le tertiaire

 

     La transition énergétique créer des emploies et donc améliore le pouvoir d’achat des ménages : effet macroéconomique positif.

     L’Europe est trop dépende du gaz et pétrole importéLes importations françaises d’énergie représente 80% des importations totale, cela est du à la forte part des importations pétrolieres.

     Facture énergétique : très élever, "c’est la guerre ou la transition énergétique"

            Malgrés la crise, le secteur privé (entreprise et méage), et plus endetter que le secteur public

            Créativité pour sauver nos banque : l’état créer la société de financement de l’économie française :

  • Donne la garanti public au prêt interbancaire
  • Elle à elle aussi des prets

           Probléme:  Beaucoup de projet ne sont encore que des prototypes. De plus,L’énergie n'est pas assez  chère. Pour réorienter les investissements, il faut jouer sur les prix.De plus il n'y a pas d'employer qualifié dans le secteur.

 

      Les Banques on un role important à jouer, pour 1 € déposer à la banque, 97€ peuvent être prêter. Cepandant, elle ne peuvent pas creer des grands projet comme elle le font pour les particulier.

 

      Stéphanie paix:favorable à l’éco PTZ (Éco-prêt à taux zéro)

             Problème de la caisse des dépôts : responsable de la transition énergétique seulement elle n’a point de moyen

      La soltuion ne passe pas par le doublement du plafond du livret A ? Selon Stéphanie Paix, NON 

 

     Plusieur question se pose:

   Que veut-on faire de l’épargne ? Des que l’on parle de fiscalité écologie, les gens ne sont pas d’accord (cf : les breton qui « râle » sur l’écotaxe)

     La transition énergétique est-elle un sujet trop sérieux pour être laisser au main des politiques ? Les outils existe mais va falloir réallouer les économies et l’épargne. Une grande partie des élite et des décideurs n’on pas pris en compte le roel de la transition énergétique (les élite prennes toujours le taxi, la voiture…)

        

Les décisions d’aujourd’hui entrainent celle de demain (cf vie des centrales nucléaire, le taux de rotation de véhicule : 15ans et c’est un problème)

18 novembre 2013

Pierre Ducret PDG de CDC Climat Diplômé de l’IEP

                  

                   Pierre Ducret
PDG de CDC Climat

- DEA de philosophie
- Diplômé de l’IEP de Paris
- Ancien élève de l’ENA
- 1982: Intègre la Caisse des Dépôts comme administrateur civil
- 1985: Directeur régional de la Caisse des Dépôts en Aquitaine
- 1988: Directeur régional de la Caisse des Dépôts en

  • Diplômé de l’IEP de Paris
  • DEA de philosophie
  • Ancien élève de l’ENA
  • 1982: Intègre la Caisse des Dépôts comme administrateur civil
  • 1985: Directeur régional de la Caisse des Dépôts en Aquitaine
  • 1988: Directeur régional de la Caisse des Dépôts en Rhône-Alpes
  • 90 à 95: Secrétaire général de la communauté urbaine de Lyon
  • 2000: Directeur, Secrétaire général du groupe Caisse des Dépôts - membre du Comité exécutif de la Caisse des Dépôts
  • Président directeur général de CDC Climat, membre du comité de direction du groupe Caisse des Dépôt (Le groupe Caisse des Dépôts est un groupe public, investisseur de long terme au service de l’intérêt général et du développement économique du pays.)
■Filiale de la Caisse des Dépôts dédiée à la transition énergétique et écologique de l’économie
■Accompagne les collectivités publiques et les entreprises dans la mise en œuvre de leurs stratégies et actions de transition énergie-climat
•Société anonyme dé
Filiale de la Caisse des Dépôts dédiée à la transition énergétique et écologique de l’économie
  • Accompagne les collectivités publiques et les entreprises dans la mise en œuvre de leurs stratégies et actions de transition énergie-climat
  • Société anonyme détenue à 100 % par la Caisse des Dépôts

       Gael s.j. Giraud

s
  • Étudie en classes préparatoires au Lycée Henri IV entre 1987 et 1989
  • Intègre l'École nationale de la statistique et de l'administration économique (ENSAE)
  • Docteur en mathématiques appliquées
  • 2004 il obtient l’Habilitation à diriger des recherches (HDR)
  • 2007 : Professeur affilié à ESCP Europe en économie et finance
  • Auteur d’ « Illusion financière » parut en Mars 2013, de  « Vingt Propositions pour réformer le capitalisme » parut en 2009.
  • Directeur de recherches en économie au CNRS
  • Membre de l’observatoire européen Finance Watch 

             Alain Grandjean

Alain Grandjean
Économiste, diplômé de l’École Polytechnique et de l’École Nationale Supérieure de la Statistique et de l’Administration Economique et docteur en économie de l’environnement.
 
        fondateur et associé de Carbone 4
logo-carbone-4

Son nom fait référence à l’objectif pris par la France de diviser ses émissions de Gaz à Effet de Serre d’un « facteur 4 » à l’horizon de 2050.

  • Premier cabinet de conseil spécialisé dans la stratégie carbone
  • Mission: faire évoluer la stratégie et le management des organisations pour créer des activités sobres en carbone, résiliantes et créatrices de valeur

    

      Chantal Jouanno 

Chantal%20Jouanno
  • BTS Commerce International
  • 1997 : Élève de l'E.N.A. (Promotion "Cyrano de Bergerac")
  • 1999 : Sous-préfète de 2ème classe, directrice du cabinet du préfet de la région Poitou-Charentes, préfet de la Vienne.
  • 2003 : Conseillère technique au cabinet du ministre de l'intérieur, de la sécurité intérieure et des libertés locales
  • 2007 : Conseiller pour le développement durable à la présidence de la République.
  • 2008 : présidente de l’agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie.
  • 2009 : secrétaire d'Etat à l'Ecologie.
  • 2011 : élue sénatrice de Paris

 

         Stéphanie paix

 

Stéphanie paix
  • Institut d'Etudes politiques de Paris
  • Chef de mission BPCE (1982 – 1987)
  • Ses premiers pas se déroulent à la Banque Fédérale des Banques Populaires
  • 2006: directeur général de Natixis factor
  • 2011 : Stéphanie Paix, Présidente du Directoire de la Caisse d’Epargne Rhône-Alpes.

  

CAISSE~1
  • Banque mutualiste régionale
  • 300 agences et ses 6 centres d'affaires, 3 000 salariés
  • Offre complète en bancassurance
  • Accompagnent dans leurs projets l'ensemble des acteurs économiques, qu'ils soient particuliers, professionnels, entreprises, associations, collectivités locales.

 

 

Mots clé

 

  • La transition énergétique désigne le passage du système énergétique actuel utilisant des ressources non renouvelables vers un bouquet énergétique basé principalement sur des ressources renouvelables.

 

 

 

  • Possible que par le développement de solutions de remplacement des combustibles fossiles, matières radioactives (ressources limitées et non renouvelables). La transition énergétique prévoit leur remplacement progressif par des sources d'énergies renouvelables pour la quasi-totalité des activités humaines (transports, industries, éclairage, chauffage, etc.)

 

 

 

Vidéo : Qu’est-ce que la transition énergétique ?   ouvrir le lien hypertexte de video

 

 

 

Quels enjeux pour la transition énergétique et comment la financer?

 

25 avril 2013

 

En France, une facture d’électricité est composée d’1/3 du coût de la production et de la commercialisation, 1/3 de taxes et 1/3 du coût du réseau.

 

La facture d’électricité dépend directement de la consommation au quotidien des différents appareils électriques qui nous utilisons et du prix de chaque kWh.

 

 

 

Transition énergétique : Hollande détaille sa vision et veut accélérer

 

20.09.2013

 

 

 

            • Baisse de la TVA sur la rénovation énergétique des logements, qui passera à 5 % en 2014 au lieu des 10 % prévus, pour "réduire la facture énergétique des ménages et soutenir l'activité du bâtiment

 

            • Transition estimer à 20 milliards d'euros tous secteurs confondus, l'Etat se reposera notamment sur la Banque publique d'investissement

 

Objectif: réduction "de 30 % de la consommation d'énergies fossiles en 2030" 

 

 Source d’énergie dans la consommation finale en 2009

 

 

 

 Réduire l’usage de la voiture, casse-tête de la transition énergétique

 

17/07/13

 

 L’automobile est responsable de la majorité des émissions de gaz à effet de serre et des importations de pétrole de la France: (70 % du pétrole importé en France sert à faire avancer nos véhicules à moteur, ce qui représente un coût d’environ 35 milliards d’euros par an. transports sont le premier émetteur de CO2 en France)

 

  • Objectif: un moteur consommant  2 litres au 100

 

 

 

GIEC (Groupe d'Experts Intergouvernemental sur l'Evolution du Climat) est une organisation qui a été mise en place en 1988, à la demande du G7

 

Quelque point du rapport remis le 27 septembre:

 

  • La causalité entre la croissance des émissions de CO2 depuis 1998 et l’"augmentation" de température n’est pas soutenable
  • Le GIEC reconnaît enfin qu’il y eut des périodes chaudes avant l’ère industrielle.
  • L’impact d’un doublement des émissions de CO2 est totalement imprévisible: on ne peut pas prévoir l’impact

 

 

 

L'Allemagne, géant vert pâle de la transition énergétique

 

07/10/2013

 

En juin 2009, Angela Merkel disait "Fukushima a changé ma position sur le nucléaire." Aujourd’hui l’Allemagne à pris une décision : fermer les 17 central nucléaire

 

Fin 2012, 23 % de l'électricité produite provenait des énergies renouvelables ; mais ses changements on un couts : le kilowattheure allemand se hisse ainsi parmi les plus chers d’Europe.

 

Quitter le nucléaire pour passer aux charbon qui pollue (le nucléaire ne pollue point, il émet des déchets radioactif dont l’homme ne sait pas quoi faire ; le charbon émet du CO2,), l’Allemagne ne connaît pas une vrai révolution verte

 

 

 

  Problématiques ?

 

 

 

  • La transition énergétique aura t-elle un impact sur la TVA ?
  • Quel choix (nucléaire, renouvelable, moins de Carbonne…) pour la transition énergétique ?
  • Quel cout pour la transition énergétique ?
  • Qui devra la financer ?
  • Peut-on concevoir une transition génératrice d’emplois ?
  • Doit t’on continuer sur le nucléaire comme c’est le cas actuellement ?
  • Comment dépenser moins d’énergie tous en gardant notre confort actuel ?

 

 

 

Cliquer ici pour avoirs la vision et des explications de l’état sur la transition énergétique

 

 

 

 

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18 novembre 2013

Préparation à la conférence: A-t-on encore besoin des banques?

patrick artus

Patrick Artus

  • Professeur à l'école polytechnique et professeur associé à l'université Paris I Panthéon Sorbonne.
  • Membre du conseil d'analyse économique, du cercle des économistes et de la Commission économique de la Nation. 
  • Il est directeur de la recherche et des études d'IXIS Corporate & Investment, qui est une filiale de Natixis
  • Le Nouvel Economiste le désigne meilleur économiste de l'année en 1996. Patrick Artus écrit régulièrement des chroniques et points de vue pour Le Monde, Les Echos, Alternatives économique et Challenges
  • Ancien administrateur de l'INSEE.
  • Membre du conseil d'administration de Total.
  • Spécialiste en économie internationale et en politique monétaire. Il publie de nombreux ouvrages (La France sans ses usines, 2011, Comment nous avons ruiné nos enfants, 2006)
  • Il est régulièrement sollicité pour des conférences lors des JECO. En effet, depuis 2008, il participe chaque année aux JECO

 

 

 

helene rey

Hélène Rey

 

 

 

 

 

 

 

  • Professeur d’économie à la London Business School
  • Jusqu’en 2007, elle était à Princeton University, comme Professor of Economics and International Affairs.
  • Sa recherche se concentre sur les déterminants et conséquences des désequilibres financiers, les crises financières et l'organisation du système monétaire international. Elle a démontré en particulier que les positions brutes externes des pays permettent de prédire les ajustements des comptes courants et les taux de changes.
  • Elle est Fellow de la British Academy.

 

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Laurent Mignon

  • Membre du directoire de BPCE*
  • Diplômé d’HEC et du Stanford Executive Program
  • Directeur adjoint de la banque Schroders à Londres en 1996
  • il rejoint le groupe AGF en 1997 comme directeur financier et devient membre du Comité exécutif en 1998.

 

 

jean paul pollin

Jean-Paul Pollin

Fonctions antérieures

  • Président du Conseil Scientifique de la Revue Economique 
  • Président de l’Association Française de Science Economique 
  • Directeur de l’Ecole Doctorale des Sciences de l’Homme et de la Société de l’Université d’Orléans 
  • Directeur du Laboratoire d’Economie d’Orléans 
  • Doyen de la Faculté de Droit, d’Economie et de Gestion de l’Université d’Orléans 
  • Rédacteur en chef de la Revue Economie et Prévision 
  • Président de la Commission « Système financier et financement de l’économie » du Conseil National de l’Information Statistique

 

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David Thesmar

  • Il est professeur à HEC.
  • Ses recherches, publiées dans les revues internationales de finance et d'économie, portent sur la réglementation bancaire et financière, la création d'entreprise, le marché de l'immobilier, et l'économie des agents non-rationnels. 
  • Il est aussi l'auteur de livres de vulgarisation en économie, dont le Grand Méchant Marché (Flammarion, 2007), ou Les 10 idées qui coulent la France (Flammarion, 2013), coécrit avec Augustin Landier
  • Il est également membre du Conseil d'Analyse Economique auprès du Premier Ministre depuis 2008, et chroniqueur à France Culture et aux Echos.

 

Définition des termes clés

Banque : Entreprise particulière dénommée aussi établissement de crédit, qui reçoit les dépôts d’argent de ses clients (dépôts pour une durée inférieure à 2 ans), gère leurs moyens de paiement et leur accorde des crédits.

Levier d’endettement :L’effet de levier désigne l’utilisation de l’endettement pour augmenter la capacité d’investissement d’une entreprise, d’un organisme financier ou d’un particulier et l’impact de cette utilisation sur la rentabilité des capitaux propres investis. L’effet de levier augmente la rentabilité des capitaux propres tant que le coût de l’endettement est inférieur à l’augmentation des bénéfices obtenus grâce à l’endettement. Dans le cas inverse il devient négatif.

« Too big to fail» : un concept économique qui décrit la situation d'une banque ou toute autre institution financière dont la faillite aurait des conséquences systémiques désastreuses sur l'économie et qui par conséquent se retrouve renflouée par les pouvoirs publics dès lors que ce risque de faillite est avéré.

Désintermédiation :La désintermédiation traduit le passage d'une économie d'endettement à une économie de marchés financiers. Dans ce cas, une part importante des financements obtenus et des placements réalisés par les entreprises se fait directement sur les marchés financiers, sans passer par l'écran d'un intermédiaire financier dont le rôle se réduit d'un emprunteur/prêteur à celui d'un placeur des titres sur le marché financier.

Autofinancement : c’est le fait pour l'entreprise de se financer elle même sans ressources extérieures. Il faut pour cela qu'elle dispose de disponibilités importantes qui lui permettront d'investir dans des projets normalement non rentables. L'autofinancement protège l'entreprise de charges financières trop importantes qu'elle aurait eues en cas de recours à la dette. C'est donc une diminution du risque de faillite qui est souvent lié à un endettement trop lourd. 

Obligations :Une obligation est un titre de dette à long terme. L'obligation peut être émise par un Etat, une collectivité locale ou une entreprise.

Les Accords de Bâle : ce sont des accords de réglementation bancaire signés dans la ville de Bâle (Suisse), et élaborés par le Comité de Bâle. Ils visent à garantir un niveau minimum de capitaux propres, afin d'assurer la solidité financière des banques.

 

 

 Articles de presse évoquant le thème et les intervenants

 

Qui a encore besoin des banques ?

Michel Santi | 08/07/2013 – LA TRIBUNE

Þ    Les politiques monétaires ne profitent pas à l’économie réelle et contribuent à l’accumulation des profits des entreprises.

Þ    Nécessité de réduire les risques posés par le système bancaire

Commission Européenne 05/09/2013

L'UE propose une réforme qui prévoit pour certains types de fonds monétaires l'obligation d'établir une réserve de fonds propres équivalant à 3 % de leurs actifs, afin de réduire les risques de panique et de ruée sur les fonds, comme durant la crise financière.

 Le consensus sur Bâle III se fissure, selon S&P

 

- Le système bancaire européen n'est pas assaini, pour l'Autorité bancaire européenne

 

L'union bancaire doit instituer des mécanismes de restructuration et démantèlement des banques non viables, mais, à ce jour, les Européens n'ont pas réussi à se mettre d'accord sur la forme que prendra cette "résolution", à qui sera confié le pouvoir de décision et qui en assurera le financement. L'Allemagne, notamment, est favorable à une coopération des autorités nationales, tandis que d'autres, dont la Banque centrale européenne, militent en faveur d'une autorité centrale distincte.

 

Problématiques susceptibles d’être soulevées :

 

Qui a besoin des banques ?

Quelle place pourraient avoir les banques dans un nouveau circuit économique et financier ?

Doit-on réduire la taille des banques ?

Les banques doivent-elles faire l’objet de modifications et de restructurations ?

 

14 novembre 2013

JOUR J ! Les JECO, c'est parti !

Les Journées de l'Economie 6e édition ont commencé ce matin.

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Il est temps d'aller chercher son kit du parfait "Jecote" ! Des cadeaux et de la lecture économique de qualité !

Bonne conférence, bonne écoute et nous attendons le retour de vos avis et impressions dans les pages du blog !

 

 

 

10 novembre 2013

1er kholle
sources-d-energie-en-France-2009
5 novembre 2013

La transition énergétique : un casse tête financier ?

Date : Jeudi 14 novembre - 15h00 - 16h30

Lieu : Salle : Hôtel de région - 1 esplanade François Mitterrand - 69002 Lyon

 5 intervenants :

  • Pierre Ducret
PDG de CDC Climat
  • Gaël s.j. Giraud 
Directeur de Recherche au CNRS
  • Alain Grandjean
Co-fondateur de Carbone 4
  • Chantal Jouanno
Sénatrice de Paris et présidente d'Ecolo Ethik
  • Stéphanie Paix
Président du directoire de la Caisse d’Epargne Rhône Alpes

 La transition énergétique suppose de lourds investissements tant du côté de la production d'énergie que du côté de la maîtrise de la demande. En l'absence d'une valorisation significative des externalités et bénéfices extra-financiers associés à ces projets, leur rentabilité strictement financière est en général faible. Mais ils peuvent être considérés comme participant à la réduction de risques macroéconomiques et générateurs de croissance. Par ailleurs, les citoyens sont de plus en plus demandeurs d'un sens donné à leur épargne. La transition énergétique est donc un casse-tête financier dont la résolution passe par des idées innovantes.

 Pierre Ducret

            DEA de philosophie

  • Diplômé de l’IEP de Paris
  • Ancien élève de l’ENA
  • 1982: Intègre la Caisse des Dépôts comme administrateur civil
  • 1985: Directeur régional de la Caisse des Dépôts en Aquitaine
  • 1988: Directeur régional de la Caisse des Dépôts en Rhône-Alpes
  • 90 à 95: Secrétaire général de la communauté urbaine de Lyon
  • 2000: Directeur, Secrétaire général du groupe Caisse des Dépôts - membre du Comité exécutif de la Caisse des Dépôts
  • Président directeur général de CDC Climat, membre du comité de direction du groupe Caisse des Dépôt (Le groupe Caisse des Dépôts est un groupe public, investisseur de long terme au service de l’intérêt général et du développement économique du pays.)
  • Filiale de la Caisse des Dépôts dédiée à la transition énergétique et écologique de l’économie
  • Accompagne les collectivités publiques et les entreprises dans la mise en œuvre de leurs stratégies et actions de transition énergie-climat
  • Société anonyme détenue à 100 % par la Caisse des Dépôts

 

Gaël s.j. Giraud

 

  • Étudie en classes préparatoires au Lycée Henri IV entre 1987 et 1989
  • Intègre l'École nationale de la statistique et de l'administration économique (ENSAE)
  • Docteur en mathématiques appliquées
  • 2004 il obtient l’Habilitation à diriger des recherches (HDR)
  • 2007 : Professeur affilié à ESCP Europe en économie et finance
  • Auteur d’ « Illusion financière » parut en Mars 2013, de  « Vingt Propositions pour réformer le capitalisme » parut en 2009.
  • Directeur de recherches en économie au CNRS
  • Membre de l’observatoire européen Finance Watch 

  Alain Grandjean

  • Économiste, diplômé de l’École Polytechnique et de l’École Nationale Supérieure de la Statistique et de l’Administration Economique et docteur en économie de l’environnement. Il est également Docteur en économie de l’environnement. fondateur et associé de Carbone 4
  • Docteur en économie de l’environnement
  • Cabinet de conseil et d'études sur le carbone
  • Nommé président du comité des experts du débat national sur la transition énergétique

 

Son nom fait référence à l’objectif pris par la France de diviser ses émissions de Gaz à Effet de Serre d’un « facteur 4 » à l’horizon de 2050.

 

  • Premier cabinet de conseil spécialisé dans la stratégie carbone
  • Mission: faire évoluer la stratégie et le management des organisations pour créer des activités sobres en carbone, résiliantes et créatrices de valeur

 Chantal Jouanno 

  • BTS Commerce International
  • 1997 : Élève de l'E.N.A. (Promotion "Cyrano de Bergerac")
  • 1999 : Sous-préfète de 2ème classe, directrice du cabinet du préfet de la région Poitou-Charentes, préfet de la Vienne.
  • 2003 : Conseillère technique au cabinet du ministre de l'intérieur, de la sécurité intérieure et des libertés locales
  • 2007 : Conseiller pour le développement durable à la présidence de la République.
  • 2008 : présidente de l’agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie.
  • 2009 : secrétaire d'Etat à l'Ecologie.
  • 2011 : élue sénatrice de Paris

Stéphanie paix

  • Institut d'Etudes politiques de Paris
  • Chef de mission BPCE (1982 – 1987)
  • Ses premiers pas se déroulent à la Banque Fédérale des Banques Populaires
  • 2006: directeur général de Natixis factor
  • 2011 : Stéphanie Paix, Présidente du Directoire de la Caisse d’Epargne Rhône-Alpes.
  • Banque mutualiste régionale
  • 300 agences et ses 6 centres d'affaires, 3 000 salariés
  • Offre complète en bancassurance
  • Accompagnent dans leurs projets l'ensemble des acteurs économiques, qu'ils soient particuliers, professionnels, entreprises, associations, collectivités locales..

 

Mots clé

  • La transition énergétique désigne le passage du système énergétique actuel utilisant des ressources non renouvelables vers un bouquet énergétique basé principalement sur des ressources renouvelables.

 

  • Possible que par le développement de solutions de remplacement des combustibles fossiles, matières radioactives (ressources limitées et non renouvelables). La transition énergétique prévoit leur remplacement progressif par des sources d'énergies renouvelables pour la quasi-totalité des activités humaines (transports, industries, éclairage, chauffage, etc.)

 

Vidéo : Qu’est-ce que la transition énergétique ?   ouvrir le lien hypertexte de video

 

Quels enjeux pour la transition énergétique et comment la financer?

25 avril 2013

En France, une facture d’électricité est composée d’1/3 du coût de la production et de la commercialisation, 1/3 de taxes et 1/3 du coût du réseau.

La facture d’électricité dépend directement de la consommation au quotidien des différents appareils électriques qui nous utilisons et du prix de chaque kWh.

 

Transition énergétique : Hollande détaille sa vision et veut accélérer

20.09.2013

 

            • Baisse de la TVA sur la rénovation énergétique des logements, qui passera à 5 % en 2014 au lieu des 10 % prévus, pour "réduire la facture énergétique des ménages et soutenir l'activité du bâtiment

            • Transition estimer à 20 milliards d'euros tous secteurs confondus, l'Etat se reposera notamment sur la Banque publique d'investissement

Objectif: réduction "de 30 % de la consommation d'énergies fossiles en 2030" 

 Source d’énergie dans la consommation finale en 2009

 

 Réduire l’usage de la voiture, casse-tête de la transition énergétique

17/07/13

 L’automobile est responsable de la majorité des émissions de gaz à effet de serre et des importations de pétrole de la France: (70 % du pétrole importé en France sert à faire avancer nos véhicules à moteur, ce qui représente un coût d’environ 35 milliards d’euros par an. transports sont le premier émetteur de CO2 en France)

  • Objectif: un moteur consommant  2 litres au 100

 

GIEC (Groupe d'Experts Intergouvernemental sur l'Evolution du Climat) est une organisation qui a été mise en place en 1988, à la demande du G7

Quelque point du rapport remis le 27 septembre:

  • La causalité entre la croissance des émissions de CO2 depuis 1998 et l’"augmentation" de température n’est pas soutenable
  • Le GIEC reconnaît enfin qu’il y eut des périodes chaudes avant l’ère industrielle.
  • L’impact d’un doublement des émissions de CO2 est totalement imprévisible: on ne peut pas prévoir l’impact

 

L'Allemagne, géant vert pâle de la transition énergétique

07/10/2013

En juin 2009, Angela Merkel disait "Fukushima a changé ma position sur le nucléaire." Aujourd’hui l’Allemagne à pris une décision : fermer les 17 central nucléaire

Fin 2012, 23 % de l'électricité produite provenait des énergies renouvelables ; mais ses changements on un couts : le kilowattheure allemand se hisse ainsi parmi les plus chers d’Europe.

Quitter le nucléaire pour passer aux charbon qui pollue (le nucléaire ne pollue point, il émet des déchets radioactif dont l’homme ne sait pas quoi faire ; le charbon émet du CO2,), l’Allemagne ne connaît pas une vrai révolution verte

 

  Problématiques ?

 

  • La transition énergétique aura t-elle un impact sur la TVA ?
  • Quel choix (nucléaire, renouvelable, moins de Carbonne…) pour la transition énergétique ?
  • Quel cout pour la transition énergétique ?
  • Qui devra la financer ?
  • Peut-on concevoir une transition génératrice d’emplois ?
  • Doit t’on continuer sur le nucléaire comme c’est le cas actuellement ?
  • Comment dépenser moins d’énergie tous en gardant notre confort actuel ?

 

Cliquer ici pour avoirs la vision et des explications de l’état sur la transition énergétique

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

29 octobre 2013

Les JECO 2013, c'est parti !

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En novembre 2013 à Lyon

logo LMD 2013

Les étudiants de la prépa ECT 1

 

 

Et si nous approfondissions des conférences proposées par le programme 2013 des Journées de l'Economie à Lyon !

Les étudiants de PECT1 du lycée La Martinière Duchère se lancent. 10 groupes de 4 pour suivre 10 conférences.

Faites votre choix !

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